Témoignages de chocophiles et chocomaniaques

Chocolat et santé : "il faut également signaler ses méfaits"

Le chocolat est bon pour son goût et également pour la santé selon vos témoignages : "il soulage le cœur" selon Eric et il "augmente le dynamisme et diminue le stress" selon Muriel. Philippe remarque également que "tout comme les huîtres, le chocolat est chargé en magnésium donc bon pour la santé".

Laurence souligne quant à elle que si le chocolat a des vertus, il faut également signaler ses méfaits : "malheureusement, mon époux a fait le constat des effets négatifs du chocolat le jour où j'ai failli le perdre à cause d'un calcul rénal d'oxylate de calcium dont le chocolat est le principal pourvoyeur".

Chocolat et bien être : "le doudou du moral"

	Sommaire
	Bon pour le cœur Un stimulant Sucres et calories Moral, dépendance Témoignages

La majorité des témoignages va dans le même sens : le chocolat fait du bien au moral. Pour Corinne, la dégustation de chocolat est "un moment agréable, un réconfort, un remonte-moral". Quant à Bernadette qui mange en moyenne 2 à 4 carrés de chocolat par jour : "en cas de blues, je mange un petit carré et ça repart. C'est mieux qu'un médicament et ça fait moins de mal au foie puisque paraît-il une forte prise de médicaments peut nuire au foie".

Enfin, Sylvie parle de "doudou du moral des grands". Pour elle le chocolat agit clairement sur le moral : "il est indispensable en cas de stress, notamment. Quand une réunion s'est pas mal passée, je ressens le besoin physique d'un carré de chocolat pour digérer le tout !".

Accro au chocolat : "une compensation passagère"

La plupart des internautes reconnaissent qu'ils ont du mal à se passer du chocolat, mais ne se sentent pas pour autant de vrais dépendants.

Côté accros, Valérie explique que si elle n'a pas sa dose quotidienne, les premiers temps, elle est "irritable et nerveuse" et a besoin de "compenser un manque certain". Patricia qui pense aussi que l'addiction au chocolat existe a également du mal à s'en passer. Enfin Nicole explique les origines de sa dépendance au chocolat : "Je suis vraiment devenue accro au chocolat (le plus noir possible) depuis 1997. Cette année-là, j'ai joué une pièce de théâtre "Les mangeuses de chocolat" (de Philippe Blasband, un auteur belge). Il s'agissait de trois femmes qui venaient suivre une thérapie de groupe pour se débarrasser de leur "chocolatomanie" mais le thérapeute est encore plus atteint qu'elles. En entrée de scène, la thérapeute vient avec un plateau chargé de toutes sortes de chocolat mais il n'est pas question d'y toucher durant le spectacle. Ce fût dur !".

Et puis, d'autres internautes sont plus modérés. C'est le cas de Mireille qui bien qu'elle ne résiste pas au chocolat, ne se sente pas "accro". Ou d'Alain qui résume bien les choses : "On peut devenir accro, je l'ai été il y a quelques années dans des conditions de stress professionnel. Mais ce n'est plus le cas, je sais que c'est juste une compensation passagère, et qui en plus donne du plaisir ... Et le chocolat n'a pas les effets secondaires du tabac, de l'alcool ou des drogues mêmes douces...".

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