Elles n'envisagent pas leur vie sans sport Exit stress et déprime

Ce n'est pas un hasard si l'on se sent léger et de meilleure humeur après la pratique d'un sport. Pendant l'activité physique, le cerveau produit une substance à l'action calmante : l'endorphine. Résultat, le stress est évacué, les soucis oubliés. Séverine et Sandrine l'ont constaté.

 Séverine, accro à différents sports en salle et à la natation

Lundi midi, cardio pendant 40 minutes, puis 45 mn de Bodyattack. Le mercredi matin, 1h de natation et le soir 40 minutes de cardio, 45 minutes de Bodysculpt puis 1h de Bodyattack. Et ainsi de suite chaque jour de la semaine. Séverine est une vraie addict, qui a trouvé dans le sport une bon moyen de se défouler : "J'ai un grand besoin de me dépenser pour évacuer le stress et me sentir bien dans ma tête et dans mon corps. A l'aube de la quarantaine, après trois grossesses, je suis fière de moi car j'ai toujours la niaque et le sport me permet de garder mon optimisme, de prendre du recul devant certains tracas. Bref, je n'envisage pas une vie sans sport. C'est une condition sine qua non à mon épanouissement personnel. Si je n'ai pas eu ma dose, je suis de mauvaise humeur !"

 Sandrine, accro à la course à pied

Pour Sandrine, dont chaque session sport ne dure par moins d'une heure, l'activité physique est un bon moyen de se couper de la réalité et de mieux affronter les difficultés : "Je cours deux à trois fois par semaine le midi. Cela me permet de décompresser et de faire une vraie coupure. Le stress du boulot est plus supportable, là où les séances du week-end me permettent d'améliorer mes performances (1h30). A la base, j'ai commencé le jogging pour arrêter de fumer. Je fume toujours, mais peut-être qu'un jour cela m'aidera à arrêter !"

Sommaire